M.P.C

"Je confirme l'avis de Stéphane G , pas sérieux du tout a fuir . Il veut de l'argent mais il est incapable de rester les rendez vous donner , une perte de temps total ."

"Nous avons dû refaire notre salle de bain suite à un fuite d’eau. Nous avons confié les travaux à MPC qui comporte uniquement Maxime Moutinho. Nous avons vécu un enfer ! Le devis signé et l’acompte versé, nous convenons de débuter le chantier mi juin, et c’est là que les ennuis commencent : - Maxime Moutinho ne vient pas à la date convenue, sans prévenir, c’est à nous de lui courir après pour qu’il vienne un mois plus tard alors que nous sommes sur le point de partir en congés - Il exige 30% du paiement le 1er jour des travaux en plus des 40% d’acompte alors que le chantier est à peine démarré. On décide quand même de lui faire confiance… A peine une heure après avoir reçu l’argent, il a arrêté et a décalé le chantier à la semaine suivante ! - Maxime Moutinho vient ou ne vient pas selon ses contraintes personnelles, on ne sait jamais quand il va arriver, il travaille une heure par ci, 2 heures par là, exige toujours plus d’argent en nous harcelant de textos. Le bras de fer s’engage. - S’ajoute à cela le fait qu’il travaille salement : bazar, poussière, pas de rangement, ne protège rien, a abimé un mur et le carrelage, a TRAVERSE LE SOL jusqu’au plafond de la pièce en dessous !!! Ses réparations sont sommaires et pas finies, et ça lui semble normal… - S’ajoute à cela que ses finissions de la salle de bain sont « ni faites ni à faire »…. - Le chantier s’est fini péniblement en septembre… Enfin, nous avons préféré considérer que s’était terminé malgré les dégâts qu’il a fait pour ne plus revoir cette personne… Nous lui avons réglé le solde (il restait 15%) dans les 48 heures… et bien malgré cela, il nous a harcelé de textos pour exiger un règlement plus rapide ! Nous n’avions jamais vécu un tel stress !!! Nous regrettons amèrement d’avoir sollicité cette personne sans scrupules et agressive avec les clients. Nous témoignons pour vous éviter la même mésaventure. A fuir !"